Le laboratoire ADVICENNE, spécialiste du développement et de la commercialisation de produits thérapeutiques innovants (formes galéniques, modalités d’administration,…) destinés aux enfants souffrant de maladies neurologiques, met à disposition des alternatives aux formes galéniques actuelles. Elles sont élaborées à partir de molécules de référence dont la place dans la stratégie thérapeutique des maladies ciblées est établie avec un rapport bénéfice/risque reconnu.

Parmi les réponses apportées aux besoins des patients dans certaines épilepsies infantiles, le laboratoire pharmaceutique ADVICENNE a mis à disposition une forme de lévétiracétam (molécule de référence dans le traitement de l’épilepsie) en granulés enrobés (LEVIDCEN).

Ces granulés présentent des intérêts pratiques, qui visent à faciliter l’observance, notamment pour les jeunes enfants ou les adultes :

  • Prêt à l’emploi : sachet monodose
  • Facile à avaler : petite taille des granulés (2mm)
  • Souplesse d’administration avec une prise possible avec de la nourriture
  • Sans goût
  • Sans sucre
  • Ajustement individualisé du dosage (250 mg, 500 mg, 750 mg et 1000 mg)
  • Packaging pratique et discret

Les médicaments du laboratoire ADVICENNE visent à améliorer l’observance et l’efficacité des traitements chez les enfants et les adolescents grâce à des formulations pharmaceutiques innovantes et adaptées permettant un ajustement individualisé de la dose délivrée. Les formes galéniques développées (formes liquides, comprimés de très petite taille, granulés faciles à avaler) conduisent ainsi à l’amélioration de la qualité de vie des patients grâce à des présentations sans goût, à des dosages adaptés et avec une réelle facilité d’administration notamment chez les plus jeunes.

L’épilepsie : 1ère maladie neurologique chez l’enfant

L’épilepsie touche 50 millions de personnes par an à travers le monde, dont 500.000 Français, parmi lesquels 90.000 enfants. Elle peut se manifester à tous les âges de la vie mais elle débute préférentiellement chez les enfants, voire les très jeunes enfants et les personnes âgées.

Dix mille nouveaux cas sont recensés chaque année, estime la Fondation IDÉE, Institut Des Epilepsies de l’Enfant et de l’adolescent et 33.000 européens décèdent chaque année des conséquences d’une de ces crises.2 Ces chiffres significatifs font de l’épilepsie la première maladie neurologique chez l’enfant et la seconde maladie neurologique, derrière la migraine chez l’adulte.

 

L’épilepsie regroupe une multitude de syndromes épileptiques

L’épilepsie est une affection neurologique chronique. Il n’existe pas une épilepsie standard, mais un ensemble de syndromes épileptiques parfois très différents les uns des autres et qui varient en fonction de l’âge. En effet, ces maladies ne présentent pas les mêmes symptômes, ne produisent pas les mêmes effets et ne seront pas vécues identiquement d’une personne à l’autre. Enfin, La découverte d’une épilepsie chez un enfant panique souvent les parents qui s’interrogent et s’inquiètent pour l’avenir de leur enfant.

L’épilepsie recouvre un ensemble de maladies se manifestant par la répétition chronique de crises épileptiques spontanées. Ces crises sont l’expression clinique d’une décharge électrique anormale, soudaine, excessive et transitoire dans le système nerveux central, ce qui provoque des crises partielles (une partie du corps) ou généralisées (tout le corps), qui peuvent se manifester par des absences (perte de contact avec l’environnement), des crispations musculaires, des mouvements involontaires, une amnésie, des chutes, des convulsions, des pertes de connaissances, etc.

  • Les crises généralisées regroupent principalement la crise généralisée tonico-clonique (la plus connue du public et la plus spectaculaire), les myoclonies massives et les absences.
  • Les crises partielles, où l’on distingue les crises partielles simples, sans modification de la conscience) et les crises partielles complexes avec altération de la conscience

Chez l’enfant, l’épilepsie s’accompagne souvent de troubles du développement cognitif et de troubles du comportement. L’impact social est particulièrement sévère, source d’isolement et de perte d’estime de soi. Les difficultés d’apprentissage et troubles de la mémoire sont fréquents et les convulsions entraînent des déficits de l’attention, ce qui est problématique en particulier chez les enfants en âge scolaire.

Dans la majorité des cas, les enfants ont besoin d’un traitement médicamenteux de longue durée.

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